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boris amoroz

  • CANTON DE VANVES/CLAMART : LES COMMUNISTES EN TERRE DE MISSION

    Pour les communistes, le canton de Vanves/Clamart comme le département des Hauts de Seine sont une terre de mission. A Gauche ils sont les derniers à résister, avec 7 cantons, les autres ayant été éliminé comme les écologistes, ou laminés comme les socialistes qui ont sauvegardé un siége à Montrouge qu’ils pourraient perdre, car le maire Etienne Lengereau s’est porté candidat dans cette commune qui a toujours été détenu par la droite avec ses précédents maires depuis 1967 (Henri Ginoux, Jean Louis Metton)

    A Vanves/Clamart, ses candidats ont ressuscité l’union de la gauche avec Boris Amoroz (PC) ex-conseiller municipal et ingénieur industrie ferroviaire (sur la photo) et Madeleine Bahloul (LFI) documentaliste, avec comme suppléant  Camille Lemarchand vanvéenne, et Gérard Aubineau clamartois, soutenu par le PS. Avec un slogan connu : «Pour le 92, l’humain d’abord» déjà utilisé lors des municipales de 2000 et l’avantage d’être «la première force à gauche au conseil départemental face à la droite, qui tient ses engagements et qui est déterminé à construire une société de liberté, d’égalité, de fraternité avec vous». Avec pour ligne d’attaque « la politique d’exclusion mené par le département le plus riche de France  qui aggrave les inégalités » et le projet de la droite : Fusionner le 92 avec le 78, réduire les budgets pour faire des excédents et faire plaisir aux agences de noation des marchés financiers ». Fermez le ban !  

    Et d’expliquer : «Tous les ans, même avec la crise en 2020, ce sont plus de 500 M€ qui sont inutilisés. Nous avons les moyens de mener une autre politique notamment dans le secteur social. Le demi milliard annuel doit servir aux habitants et non à réjouir les banquiers ! La crise sanitaire  a confirmé les effets néfastes des politiques libérales menées à tous les niveaux. De 2003 à 2020, de Chirace à Macron, les gouvrnement RPR/UMP, PS-EELV, En Marche, ont fermé plus de 95 hôpitaux et et plus de 70 000 lits d’hôpitaux » constatent ils prêt à renforcer les mesures et les actions de solidarité, rétablir les services publics de proximité dont la disparition accroit les inégalités, accorder davantage de moyens à l’accompagnement des populations fragilisées, rejeter aux oubliettes le projet mastodont de fusion 78-92…

    Dans leur programme, Boris Amoroz et Madeleine Bahloul citent 3 projets concernant directement Vanves : Tout d‘abord obtenir le prolongement du tramway T 10 prévu entre la Croix de Berny (Antony) et la place des Gardes (Clamart) pour l’instant, jusqu’à Issy-Corenton Celton, via la gare de Clamart SNCF-Transilien/Grand Paris Express. Pour la petite histoire, Isabelle Debré (LR), vice présidente transports avait obtenu que Ile de France Mobilités,  haute autorité des transports de la Région, engage des études pour prolonger cette ligne de Tramway jusqu’à cette gare de Clamart. Ensuite obtenir la rénovation de la ligne 13 qui dessert Vanves, aujourd’hui la plus saturée d’europe. Enfin, obtenir la gratuité de la navette de Vanves, qui est payante, alors que le Clamibus est gratuit, ce qui explique qu’elle est désertée

  • LEHRTE VILLE JUMELLE DE VANVES VOTE DIMANCHE POUR LES ELECTIONS FEDERALES EN BASSE SAXE

    Grâce à Boris Amoroz conseiller municipal  (FG/PC) de Vanves, le Blog de Vanves de Vanves  Au Quotidien a pu  obtenir un témoignage de Christoph Lokotsch (Die linke) sur les élections élections régionales de Basse-Saxe qui ont lieu aujourd’hui. « Comme aux élections fédérales pour le Bundestag, une partie des sièges est attribuée par circonscriptions (candidats directs), et l’autre partie par scrutin de liste régionale ; les électeurs votent deux fois : une fois pour le candidat direct de circonscription, et une fois pour une liste régionale.À Lehrte, aux élections fédérales de septembre, Die Linke a fait 6,6% pour le vote de liste, et la candidate directe de la circonscription, Jessica Kaussen, a fait 5,4%. Ces chiffres annoncent probablement d’assez bons résultats pour dimanche soir ! » indique Boris Amoroz

    « Le parti allemand de gauche DIE LINKE (« La Gauche ») s’apprête à une longue soirée électorale le 15 octobre. Les sondages et les prévisions place le parti entre 4,5 % et 5,5%. En raison du seuil de 5% exigé, DIE LINKE est sur le point de revenir au Landtag (le parlement) de Basse-Saxe, situé à Hanovre, la capitale régionale ; mais ce n’est pas gagné... 

    La coalition SPD-Grünen (Parti Social-Démocrate / Les Verts) du Ministre-Président Stephan Weil a perdu en août dernier la frêle majorité qu’ils avaient, lorsque un élu a quitté le parti Les Verts pour passer au groupe Parlementaire conservateur (droite).

    Les sondages suggèrent maintenant un résultat serré entre le centre-droit chrétien-démocrate (CDU, 33%), qui ont perdu près de 7% dans les sondages depuis août, et le centre-gauche social-démocrate (SPD, 34%). La coalition sociaux-démocrate/les Verts va probablement manquer la majorité absolue.

    Seulement deux semaines après les élections fédérales allemandes, qui ont amenée le pire virage à froite que l’Allemagne connaît depuis des décennies, le parti d’extrême-droite AfD devrait progresser d’environ 7%, selon des sondages récents. Le parti néo-nazi est devenu le troisième parti au parlement fédéral allemand, le Bundestag (13%).

    La section locale Die Linke  de Lehrte, la ville jumelle de Vanves, a deux candidats directs pour l’élection au Parlement régional : Thomas Schwieger, qui est membre du conseil communal de Lehrte, et Fritz Wilke, membre du conseil communal de Sehnde (près de Lehrte). Bien qu’ils n’aient que peu de chances de gagner (seuls les chrétiens-démocrates  et les sociaux-démocrates ont une chance de gagner le siège), il est important d’affirmer une vraie voix de gauche avec des candidats DIE LINKE dans chaque circonscription de la région »

    Christoph Lokotsch

    Parliamentary party leader of ‘DIE LINKE’ in the local council of Lehrte

     

  • LA SUPPRESSION DES CONTRATS AIDES OBLIGE VANVES A RECRUTER DES CONTRACTUELS

    La suppression des contrats aidés qui sont le dernier levier d’insertion, ont fait l’objet de deux questions orales d’Anne Laure Mondon (PS) et de Boris Amoroz (FG/PC) au conseil municipal de 27 Septembre dernier (sur la photo lors d'un tractage (B.Amoroz à gauche, et AL Mondon à droite). Il sera intéressant de suivre ce que devrait décider aujourd’hui le Conseil d’Etat qui tiendra audience aujourdhui à 14H30 sur ce sujet. Car les associations Pouvoir citoyen,  des Elus écologistes en Île-de-France,  le Collectif des Associations Citoyennes qui regroupe plus de 1.500 associations dont 140 réseaux nationaux, la Fédération des MJC d'Île-de-France ainsi que la commune de Grande Synthe, l’Association Internationale des Soldats de la Paix et la Fédération Nationale des Anciens des Missions Extérieures, ont déposé un référé-suspension contre le gel des contrats aidés décidé par le gouvernement qui est un coup dur porté à l’équilibre des territoires, au travail des associations et bien sur à l’emploi, en particulier des personnes les plus fragiles.

    «Le gouvernement a annoncé une suppression massive des emplois aidés, malgré un chiffre revu à la baisse suite à la grogne des collectivités et associations, près de 40% le seront l’an prochain. De nombreux contrats aidés dans les cantines scolaires, les espaces verts ou encore les associations sportives ont été et seront concernés par ces suppressions » a constaté A.L. Mondon. « Le gouvernement Macron-Philippe a lancé cet été le plus grand plan social de France. « Coûteux », « pas efficaces », « sans résultats » sont les qualificatifs mensongers utilisés par Pénicaud et Philippe pour les qualifier. S’il est bien des gens coûteux, ce sont les agioteurs et ceux des marchés financiers qui se gavent du travail d’autrui. Mais derrière ce dispositif, le dernier-né d’une longue série de statuts précaires imaginés depuis quarante ans pour offrir aussi bien un tremplin aux personnes éloignées du travail qu’un mécanisme de maquillage des vraies statistiques du chômage, se joue non seulement la vie de femmes et d’hommes licenciés du jour au lendemain, mais aussi la bonne marche et l’activité de nombreux services publics et d’associations, avec suppression de postes de surveillant scolaires, d’aides aux handicapés, de personnels d’associations humanitaires.Un plan social qui ne dit pas son nom, silencieux, même s’il commence à faire du bruit, sans indemnité ni dispositif de retour à l’emploi, qui déchire un peu plus le lien social. Il n’est bien sûr pas question pour nous, au Parti Communiste, de s’arc-bouter sur ce statut, mais de le faire évoluer pour quelque chose de mieux ; les pistes existent ! » a expliqué B. Amoroz.

    Ils ont souhaité connaître les emplois concernés sur la ville (nombre, fonctions, coûts…), dans les associations vanvéennes (celles avec qui la mairie travaille et les autres), « et combien de personnes sont ainsi affectées par ce plan social macronien » selon B.Amoroz. « Par ailleurs, il a été finalement annoncé que les emplois seraient bien conservés pour l’accompagnement des enfants handicapés. Nous souhaiterions néanmoins savoir si, à Vanves, les suppressions brutales de cette rentrée 2017 ont eu des conséquences auprès d’enfants vanvéens en situation de handicap »a demandé A.L. Mondon   

    24 CONTRATS AIDES, 11 INTEGRES

    Marie-France Mugnier, conseillére municipale chargée du personnel communal a indiquée que « depuis 2013, la ville de Vanves s’est engagée dans une démarche de recrutement des contrats aidés avec un double objectif : Permettre à des personnes ayant des difficultés à retrouver un emploi de pouvoir se réinsérer dans le monde du travail et garder ces personnes sur des postes plus pérennes lorsque les conditions étaient remplies : besoin dans les services et manière de servir des agents. Ces personnes étaient affectées dans différents secteurs de la ville : 19 au service Education, 2 au service Petite Enfance, 2 pour la piscine municipale, 1 au service des sports pour le gardiennage du Stade. C’est ainsi qu’au total, 24 contrats aidés ont été signés sur cette période et 11 personnes ont été intégrées définitivement dans les services municipaux à l’issue de leur contrat aidé avec à la clef un emploi stable. La ville de Vanves a donc joué son rôle d’intégrateur social en les gardant sur des postes pérennes. Le coût total pour Vanves depuis 2013 s’élève à 785 839 €, 369 720 € de subvention de l’Etat soit un coût de 416 119 € à la charge de la Ville. Deux personnes sont encore en contrats aidés sur la ville, avec des échéances en octobre et novembre 2017. Nous avions envisagé de recruter 4 autres contrats aidés : 2 au service éducation et 2 à la piscine. Nous avons donc été obligés de procéder à des recrutements de contractuel ce qui a un cout plus important pour la ville » a t-elle indiqué en ajoutant qu’à ce jour, tous les enfants dont le handicap nécessite une aide supplémentaire  bénéficient d’une AVS dans nos écoles En revanche, je n’ai pas connaissance du nombre de contrats aidés signés par les associations car celles-ci n’en ont pas fait part à la ville».